Realizada por: Brenno
Al Druida: A.M.Canto
Formulada el sábado, 12 de marzo de 2005
Número de respuestas: 12
Categoría: Temas Bibliográficos y Literarios

de bello gallico


Hola muy buena, veras tengo un problema,me pareceria muy interesante poder leer de bello gallico y tengo una copia,pero en latin y yo no se latin, entonces me preguntaria si usted sabe de alguna traduccion buena o alguna forma de poder leerlo sin tener que esperar a saber latin para leerlo. Muchas gracias y un saludo

Respuestas

    Tijera Pulsa este icono si opinas que la información está fuera de lugar, no tiene rigor o es de nulo interés.
    Tu único clic no la borarrá, pero contribuirá a que la sabiduría del grupo pueda funcionar correctamente.

  1. #1 A.M.Canto sábado, 12 de marzo de 2005 a las 19:44

    Hola. Hasta donde sé, no hay nada en red de esto en español, es muy poco en general lo que está traducido, llevamos mucho retraso con respecto a otros países. Pero puede Ud. leer todas las obras de César, y muchas otras, en francés, en un sitio que ya recomendé una vez, creo, la Bibliotheca Classica Selecta: http://bcs.fltr.ucl.ac.be/caes/BGI.html (aunque parece que les falta el libro I del De bello Gallico, está más abajo).
    Éstas de la Univ. de Lovaina son traducciones antiguas, de la col. Nisard, ya del dominio público; pero suelen estar bastante bien, y el francés le será más fácil de seguir que el latín.
    En caso de que no, en este otro sitio encuentra Ud. el libro en inglés, alemán e italiano:
    http://digilander.libero.it/jackdanielspl/Cesare/bellogallico.html
    El retraso que llevamos en este sentido, poner los principales textos griegos y latinos a disposición de los internautas de habla hispana interesados, es realmente lamentable.


  2. #Gracias Brenno AGRADECIMIENTO

    gracias,ya me imaginaba que no encontrria nada en castellano y el frances si me resulta mas fcil de seguir que el latin,aunque primos hermanos,muchas gracias de todas formas,un saludo,

  3. #2 A.M.Canto sábado, 12 de marzo de 2005 a las 19:50

    Ah, de nada, saludos, y gracias por lo de "muy buena" ;-)


  4. #3 mrivas jueves, 28 de abril de 2005 a las 00:22

    En Internet no conozco ningún sitio en el que esté en castellano, pero sí que hay una edición en castellano en tres tomos (creo, y pequeños). Viene la versión original en latín y dos traducciones paralelas en castellano. Miraré la edicitorial y ya te diré.

    Saludos.


  5. #4 darius jueves, 28 de abril de 2005 a las 00:41

    hola Brenno,

    Para comprarlo por internet en frances :

    http://www.amazon.fr/exec/obidos/ASIN/208070012X/171-4805300-4845811

    Resumenes en frances en la red :

    http://www.herodote.net/histoire011100.htm

    http://www.alesia.asso.fr/pg/GDG/home-GDG.htm

    http://www.yrub.com/litt/guerresgaule.htm


    bonne nuit


  6. #5 darius jueves, 28 de abril de 2005 a las 01:03

    http://www.yrub.com/litt/guerresgaule.htm


    La Guerre des Gaules, Livres I et II



    Le contexte.

    Pourquoi entreprendre une guerre en Gaule ? Face à Pompée, César a un désavantage certain : Il n’a pas le prestige d’une victoire !

    Mais César « s’attaque » aussi à la Gaule car elle représente un certain danger pour Rome : Arioviste, le roi des Suèves, provoquaient des remous qui se faisaient sentir jusque chez les Allobroges (qui s’étaient déjà soulevés en 61).

    Début du consulat de César en janvier 59 (il gouverne l'Illyrie et la Gaule cisalpine, puis la Gaule transalpine). C’est une situation géographique idéale pour César : il reste prêt de Rome même lorsqu’il est « sur le terrain » (Il peut mener à la fois les campagnes pour la gloire militaire et continuer à diriger les intrigues politiques à Rome).

    L’occasion désirée se présente avec la migration des Helvètes dès 58 (ils occupaient le plateau du Nord de l’Oberland bernois). Leur expédition ne comporte aucune trace d’agressivité contre les autres peuples (ils veulent aller en Saintonge et ont préalablement demandé l’autorisation des peuples dont ils doivent traverser les terres). Ils demandent l’autorisation à Rome de traverser le nord de la Narbonnaise (ils comptaient franchir le Rhône à la hauteur de Genève). César en profite, il masse ses troupes près du seul pont pratiquable à cet endroit; les Helvètes l’assurent de leur intentions pacifiques et réitèrent leur demande de passage. César demande un temps de réflexion, en réalité il veut pouvoir terminer les fortifications qu'ils préparent…Puis il refuse le passage. Les Helvètes envisagent alors de passer par le territoire des Séquanes qui se trouve plus au Nord.

    Alors apparaît le druide Diviciacos (qui appartient à une riche famille héduenne) ; lors d’un voyage à Rome il avait été l’hôte de Cicéron et s’était adressé au Sénat. Diviciacos était en querelle avec son frère Dumnorix. César va affirmer que Dumnorix veut s’emparer du pouvoir avec l’appui des Séquanes et des Helvètes ; Diviciacos vint demander l’aide du proconsul pour arrêter les Helvètes pillards. César peut donc se targuer de répondre à un appel…

    Mai 58, César franchit le Rhône et remporte une facile victoire sur les Helvètes. Diviciacos sollicite alors la protection de César contre Arioviste (mise en scène sûrement préalablement arrangée par les deux hommes). César amène ses légions dans la plaine d’Alsace, les Suèves sont obligés de repasser le Rhin. Pour les Gaulois, les romains sont désormais le rempart contre les Germains. César se présente comme l’allié des peuples gaulois. A Rome il se targue de contenir le danger potentiel que représente les Gaulois. Ainsi, de part et d’autre, César fait figure de libérateur.

    La guerre des Gaules fut présentée par César comme une guerre préventive, destinée à empêcher que la Gaule ne soit envahie par les Germains et que Rome soit menacée. Il n’en reste pas moins que les invasions germaniques ont eu lieu de toute façon, Rome n’a pu que les retarder pas les empêcher…

    César va ménager la Gaule après sa conquête (il impose un tribut relativement faible) ; en particulier les Héduens et les Arvernes. Mais il y eut de nombreuses insurrections : surtout dans les régions montagneuses qui ne se soumettront qu’en l’an 7 (érection du Trophée d’Auguste à La Turbie en témoignage de cette soumission.). En 21, la révolte éclate (Sacrovir, Florus) les romains sont chassés ou massacrés ; la rude poigne de Tibère en viendra finalement à bout (érection de l’arc de triomphe d’Orange). Puis en 68, un gaulois, Vindex, gouverneur de la province Lyonnaise, se déclare contre Néron et entama une révolte.

    César va faire misérablement étrangler Vercingétorix en 46, après 6 ans de captivité. Mais César le suivra dans la mort deux ans plus tard, assassiné par ses propres compagnons dont son fils…Ou est la civilisation ?



    Introduction

    Les Commentaires ne prétendent nullement être un livre d’histoire ; les romains appelaient « commentaires » (=commentarii) un recueil de notes, une sorte d’aide-mémoire. Pourtant c’est une source historique d’autant plus précieuse qu’elle est presque unique. César se sert de ses commentaires comme un justificatif envers le Sénat, il se doit de trouver des justifications à sa campagne contre les Helvètes, c'est aussi le cas pour son intervention contre Arioviste. Pourtant César est habile et son récit n’éveille pas les soupçons du lecteur, c’était le but !

    Ainsi les motifs que donne César au départ des Helvètes sont peu vraisemblables ; en plus est paradoxale la soi disant menace que représente leur établissement en Saintonge (ils seront plus éloignés qu’ils ne l’étaient auparavant…). César recours aux Dieux, au destin : Les Helvètes ne sont autres que les Tigurins, ceux-là même qui, 50 ans plus tôt, avaient massacré le consul Cassius et fait passer ses troupes sous le joug…César « homme prédestiné » à venger Rome.

    Dans sa guerre contre Arioviste, il n’intervient « qu’après les supplications de presque toute la Gaule… ». Il avance aussi le risque d’invasions germaines. César doit se justifier (il était entré en guerre contre Arioviste sans l’autorisation du sénat et du peuple romain…).

    César montre, de page en page, les difficultés vaincues, les dangers encourus, le rôle qu’il a joué, la grande valeur de ses adversaires (ce qui en rajoute à son prestige). Lorsque l’ennemi n’a pas fait preuve de bravoure ou de qualités stratégiques, se sont d’autres éléments qui entrent en ligne de compte : le terrain défavorable, la position mauvaise, le ravitaillement déficient…

    Partout César est présent, soit par ses instructions, soit parce que lorsque ses lieutenants prennent des initiatives personnelles cela se finit toujours en catastrophe.

    Il utilise la 3ème personne : c’est une manière d’affecter l’impartialité. En bref, c’est grâce à lui que tout réussi…

    Si César connaît un échec, il tente alors de le dissimuler, ou du moins de le réduire. Parfois l’échec est pourtant dur à dissimuler (ainsi à Gergovie) ; César essaie pourtant de le faire (il n’est pas responsable de la défaite, les légions lui ont désobéit...).

    Pourtant l’essentiel des faits relatés par César est véridique ; il n’aurait pu les travestir à volonté, il y avait trop de témoins et tous ne restèrent pas ses amis.



    Les 8 livres.
    Les 7 premiers relatent la période de -58 à -52.Le huitième n’est pas de la main de César, mais de celle d'Hirtius (un de ses lieutenants). Chaque livre correspond à une année.

    Au départ César ne dispose que de 4 légions, mais par la suite il en comptera 10.



    Livre I (-58)
    Campagnes contre les Helvètes et contre Arioviste. Soumission de la Gaule Celtique, l’Armorique excepté (la Bretagne).

    César commence par faire une description « géographique » de la Gaule, il recense les 3 peuples qui y habitent (les Belges, les Gaulois, les Aquitains). Il démontre que Belges et Helvètes sont les plus rudes car ils sont notamment en conflit continu avec les Germains.

    César nous présente Orgétorix, le chef helvète, qui forma le projet en –61 du départ des Helvètes. César nous explique l’exiguïté géographique du territoire Helvète (il décrit cela de manière à présenter les Helvètes comme n’étant pas satisfait d’un territoire pourtant bien assez grand, de même il montre que les Helvètes sont agressifs et qu’ils souhaitent immigrer pour porter la guerre chez leurs voisins…).

    César nous explique ensuite qu’Orgétorix persuade des chefs gaulois de s’emparer du pouvoir(dont Dumnorix l’Héduen face à son frère Diviciacos, représentant du parti romain). César nous présente ces trois hommes comme nourris d’une ambition toute personnelle (mais ne souhaitaient-ils pas finalement voir l’union de la Gaule ?). L’intrigue d’Orgétorix est révélée, il doit être jugé. Il se présente devant le tribunal avec plus de 10'000 hommes et ne parle pas comme la coutume le lui permettait. Les magistrats levèrent un grand nombre d’hommes pour lutter contre lui; Orgétorix mourut; il aurait mis fin à ses jours. Après sa mort, les Helvètes gardent le projet de quitter leur territoire (ils mettent le feu à leurs 12 villes et 400 villages). Plusieurs autres peuples se joignent à leur expédition.

    2 routes possibles : - la province romaine ou le territoire des Séquanes.

    Les Helvètes décident de passer le pont près de Genève (ville Allobroge). César se rend au pont (avec 1 légion), une ambassade helvète demande l’autorisation de passage pacifique. César refuse se souvenant que les Helvètes avaient tué le consul Cassius (en -107 dans la région d’Agen) et qu’ils étaient belliqueux et ne pourraient s’empêcher de causer des dégâts. César avait dans un premier temps dit qu’il souhaitait réfléchir (en fait c’était pour terminer les fortifications). Les Helvètes durent renoncer et choisir l’autre route. Ils obtiennent de Dumnorix l’autorisation de passage (Dumnorix voudrait s’attacher le plus de peuple possible, selon César, pour une prochaine prise du pouvoir). César apprend que les Helvètes veulent s’installer en Saintonge; il va soutenir que c’est un grand danger d’avoir les Helvètes à une telle proximité. César lève en tout 5 légions et se dirige à la rencontre de ses ennemis. Selon César, les Helvètes seraient en train de ravager les terres des Héduens; ces derniers demandent de l’aide à César. Les Helvètes traversent la Saône, César arrive à attaquer ceux qui n’avaient pas encore traversé et en fit un grand massacre (justifié car se sont les Tigurins, ceux qui avaient massacré Cassius), ainsi César venge sa patrie et sa famille.

    César fait construire un pont pour pouvoir poursuivre les Helvètes. Ils lui envoient une ambassade dont le chef était Divico (commandant dans la guerre contre Cassius !). Discours de Divico où il met en garde les romains. César est résolu (dans un discours) à venger les actes passés et présents mais est prêt à accepter la paix s’ils donnent des otages et s’ils réparent leur tort. Divico répond que selon un principe helvète ils recevaient des otages et n’en donnaient point…

    Les deux ennemis lèvent leur camp, la cavalerie romaine suit les Helvètes mais le fait de trop prêt et se trouve engagée (40'000 cavaliers romains contre les 500 cents cavaliers helvètes) ; les romains perdent quelques hommes selon César (c'est la faute du terrain !). Les Helvètes sont encouragés par cette "victoire" et se mettent à harceler les romains.

    César a des problèmes de ravitaillement (les Héduens ne livrent pas le blé); reproches de César à Diviciacos. On apprend à César que c’est à cause de certains personnages influents (Dumnorix) que le blé ne parvient pas. César apprend notamment que dans le combat de cavalerie précédemment expliqué, ce fut la cavalerie héduenne commandée par Dumnorix qui s'était enfuit en premier. Il fallait le punir. La seule chose qui retenait César c'était la peur de faire souffrir son frère Diviciacos. Supplication de ce dernier pour épargner son frère César accepte. César convoque Dumnorix pour lui faire part de ses reproches. Bientôt César reviendra sur sa promesse et fera assassiner Dumnorix...

    Le même jour César apprend que l’ennemi a fait halte près d’une petite colline : il veut la faire occuper par ses troupes mais ce sont les Gaulois qui l’occupent selon les dire des explorateurs romains. Les romains se mettent en position sur une colline voisine (Labiénus occupe le haut de la première colline). César apprend bientôt qu’en fait les Gaulois n’occupaient pas la colline et qu’il fut mal renseigné. Mais il était trop tard, les Helvètes avaient déjà levé le camp.

    César se dirigea vers Bibracte pour le ravitaillement ; les Helvètes firent alors demi-tour et harcelèrent les romains, ceux-ci se mirent en formation sous les ordres de César. Episode où César fait éloigner les chevaux pour que le danger soit le même pour tous et que personne ne put s’enfuir. Combats acharnés avec rebondissements (« personne ne put voir un ennemi tourner le dos »). Les combats s’étendirent sur 3 jours, les Helvètes durent fuir. César se mit à leur poursuite; les Helvètes envoyèrent des députés pour demander la paix : César formula ses exigences, les Helvètes les acceptèrent. 6'000 d’enter eux s’enfuirent pourtant vers la Germanie, César l’apprenant il exigea des peuples dont ils avaient traversé les territoires qu’ils les ramènent. Ce fut fait et ils furent traités en ennemi. Il ordonna aux autres helvètes de retourner chez eux et de reconstruire leurs villes.

    Document sur le nombre d’Helvètes : 263'000 Helvètes + 100'000 alliés, seul 110'000 rentraient…

    Puis les Gaulois implorent l’aide de César contre Arioviste. Les Arvernes et les Séquanes avaient pris des germains comme mercenaires et les Héduens ne pouvaient les vaincre. Arioviste, roi des germains, s’était établit chez les Séquanes. Bientôt tous les Germains passeraient le Rhin !!!

    César se lance dans la justification de la guerre qu’il va mener contre un « ami du peuple romain » en rappelant les invasions teutonnes et Cimbres (// avec ce qui risque d’arriver si les Germains passent en Gaule). Arioviste refuse l'ambassade que lui envoie César. César lui envoie une seconde ambassade avec diverses exigences. Mais Arioviste n’en eut cure. Après que des nouvelles de regroupements de germains lui soient parvenus, César décide de marcher contre Arioviste. Il se dirige vers Besançon. Peur des romains face à des adversaires si féroces (dénonciation de l’aristocratie par César). Discours de César qui reste un modèle de harangue militaire. La position romaine change et la hâte de combattre est présente. Arioviste envoi une ambassade (César démontre à nouveau qu’il ne fait la guerre que forcé). La réponse d’Arioviste fut que les Romains n’avaient rien à faire avec une armée sur des terres qui étaient les siennes + justificatif de son action « défensive » contre les Gaulois (apparemment prétexte à la mode). César met en avant qu’il ne va pas abandonner de fidèles alliés. Incident de la cavalerie germaine provoquant les romains, ceux-ci restent impassibles sur l’ordre de César. Les troupes romaines sont encore plus motivées à combattre après cet entretien. Arioviste demande un nouvel entretien à César, ce dernier lui envoi des ambassadeurs ; Arioviste les garde en captivité. Les armées se font face, les Germains n’attaquent pas, César fait des préparatifs de fortifications. Bientôt un premier combat s’engage : les pertes furent sévères des deux côtés.

    Mais la « vraie » bataille s’engagea. Repoussés, les Germains fuirent (dont Arioviste). A cette nouvelle les renforts Suèves rebroussèrent chemin, harcelés par les peuples proches du Rhin.

    Les guerres étaient, pour le moment, achevées. César mena ses troupes en quartier d’hiver chez les Séquanes (Labiénus se vit confier le commandement). César partit pour la Gaule citérieure pour y remplir ses fonctions de gouverneur.

    Livre II (-57)

    Conquête de la Gaule Belgique.

    Bientôt César apprit les nouvelles de conspiration des peuples de la Belgique. Certains supportaient mal l’occupation romaine et avaient peur de voir les romains se retourner contre eux. César se rend aux frontières de la Belgique. Les Rèmes, peuple le plus proche de la frontière annonce qu’ils soutiennent Rome. Ils donnèrent de précieux renseignements sur les troupes « belges » (le peuple le plus puissant était les Bellovaques, mais il y avait aussi les Nerviens, les Suessions, les Atrébates, les Ambiens, les Morins, les Eburons…). Les Belges marchent contre les romains qui se retranchent. La ville de Bibrax est assiégée par les Belges ; les romains envoient des renforts; les Belges voyant qu’ils ne pourront prendre la ville se dirigent contre les romains et établissent leur camp. Le combat s’engage, les Belges tentent de prendre les romains à rebours mais c'est un échec qui entraîne un grand massacre. Les Belges décident de retourner chez eux (ils apprennent en outre que les Héduens s’approchent du territoire des Bellovaques, comme César l’avait ordonné à Diviciacos). César les poursuit et sa cavalerie fait un grand massacre de fuyards. Bientôt César met le siège devant la capitale des Suessions qui, devant les armes de sièges dont ils ne connaissaient rien, envoyèrent une ambassade à César pour se rendre. Chez les Bellovaques le scénario se répéta. Les Ambiens se soumettent aussi. Mais les Nerviens se préparent au combat (César les décrit comme rude et non-amollis par le luxe).

    Les Nerviens et leurs alliés prirent les romains en embuscade alors qu’ils établissaient leur camp. Discours d’encouragement de César. La situation était difficile. Les alliés des Nerviens furent progressivement défait. Mais les Nerviens étaient dans le camp romain. Certains alliés romains (Trévires) fuirent et répandirent la nouvelle que les romains avaient été battus. César s’avança en première ligne pour combattre ; les troupes furent encouragées par sa présence et se battirent mieux. Bientôt la situation changea, les légions ayant battues les alliés des Nerviens arrivèrent en renfort. César loue l’héroïsme des Nerviens, mais ces derniers furent quasi réduits à néant ! Ils firent soumission complète. César prit soin de les ménager. Les renforts Nerviens, les Atuatuques, rebroussèrent chemin et se fortifièrent dans une ville (César les fait descendre des Cimbres et des Teutons). Eux aussi se rendirent à la vue des outils de siège romains. César accepta mais exigea que les armes soient déposées. Mais les Atuatuques attaquèrent par surprise avec des armes qu’ils avaient dissimulées. Ils furent finalement facilement battus. César se montra très sévère en les vendant tous.

    Toute la Gaule était soumise. La réputation de César en Gaule était telle que tous les peuples lui envoyèrent des députés qui venaient lui promettre obéissance. César repartit pour l’Italie. 15 jours de supplication furent décrétés, ce qui n’était encore arrivé à personne (Pompée : 12 jours pour sa victoire sur Mithridate). Le livre II se termine par un triomphe, comme tous les livres, mais pour cela César a dut laisser certains événements fâcheux de l'année 57 pour le début du livre III !!!



    Livre III
    Conquête de l’Armorique et de l’Aquitaine

    Livre IV

    Première campagne au-delà du Rhin et première expédition en Bretagne.

    Livre V
    Eburons, Trévires, Nerviens se révoltent et massacrent Sabinus et Cotta ; César est obligé de passer l’hiver en Gaule.

    Livre VII

    Epopée de Vercingétorix, été 52 bataille d’Alésia. Le livre s’achève avec la mention du décret prononçant les 20 jours de prières et d’actions de grâces décrétées par le sénat pour saluer la victoire.

    Livre VIII

    Aulus Hirtius l'écrit pour relier aux Commentaires sur la Guerre des Gaules les Commentaires sur la Guerre Civile. Il y exprime ses sentiments d’admiration pour César, littérairement il est loin






  7. #6 mrivas jueves, 28 de abril de 2005 a las 20:06

    La información de la edición de La Guerra de las Galias que tengo en mi casa es la siguiente:

    Editorial Gredos
    Colección Gredos Bilingüe
    Segunda edición revisada, Madrid 2002
    Tres tomos (tomo 1: libros I, II, III y vocabulario, 265 páginas, 12 €; tomo 2: libros IV, V, VI y vocabulario, 321 páginas, 12 €; tomo 3: libro VII y vocabulario, 215 páginas, 8 €)
    Texto latino con dos traducciones (Valentín García Yebra e Hipólito Escolar Sobrino)
    ISBN: 84-249-3547-0 (tomo 1) 84-249-1020-6 (tomo 2) y 84-249-1021-4 (tomo 3)

    La compré en La Casa del Libro (http://www.casadellibro.com/busquedas/quickResults/0,,1-t-guerra%20galias,00.html?tBusq=t&tValueForSearch=la+guerra+de+las+galias&cFo=true&rOd=&NotQueryAgain=false)

    Un saludo


  8. #7 Hispano jueves, 28 de abril de 2005 a las 23:50

    También se encuentra en internet (usando el eMule, programa de descarga de archivos), pero solo se puede leer en la pantalla (es .pdf), o dejarte unos cuantos botes de tinta al imprimirlo... :) dejo el enlace para el eMule, si alguien está interesado: ed2k://|file|C%C3%A9sar,%20Cayo%20Julio%20-%20La%20guerra%20de%20las%20Galias.pdf|1000349|D5B4C908C5A2B7005AEDB762BFD4F35E|h=G7D5QOZZD7FTTARWRFQKXABPKYEM6R26|/


  9. #8 Helena_d_Troya sábado, 18 de marzo de 2006 a las 20:28

    Hola a todos. Soy nueva por aqui y no conozco muy bien la dinamica de esta web asi que si escribo donde no debo ruego me disculpen e intentare no meter la pata mucho.
    Sobre la Guerra de las Galias, me interesaria mucho tener la traduccion, aunque sea muy literal, me he puesto ha descargar el archivo q habeis recomendado. Aunque lo q me interesaria mas seria una traduccion bilingue, por un lado en latin y paralelamente en español, no se si podais decirme algun lugar en internet donde encontrarlo pero os agradeceria si sabeis de algo.
    Buscando he encontrado justo lo q queria, la traduccion bilingue, pero era solo de bello gallico y del primer libro, si alguin sabe donde podria encontrar el resto de los libros de la forma q les digo pues me serviria de mucha ayuda.
    Gracias anticipadas y saludos.


  10. #9 Drancos sábado, 18 de marzo de 2006 a las 22:07

    En internet no conozco ningún sitio de donde descargarse "de bello Gallico" o "de bello Civili" en bilingüe, pero en cualquier libreria no es difícil encontrarlo, sobre todo en las librerías universitarias. Además, vienen con sus mapitas, esquemas y todo tipo de información adicional.


  11. #10 Helena_d_Troya domingo, 19 de marzo de 2006 a las 00:05

    Gracias por contestar tan rapido.
    Lo de que haya en la biblio de la universidad ya lo suponia, solo que aun me faltan unos cuantos mesecillos pa llegar (ojala pasen rapido). De todos modos muchas gracias por contestar.


  12. #11 Drancos domingo, 19 de marzo de 2006 a las 00:10

    Bueno, las librerías universitarias se llaman asi por tener los textos de la universidad, pero no son exclusivas de ellas ni estan en las universidades. Vamos, que si te corre prisa puedes pillartelos ya, pero de todas formas cualquier librería normal los tendrá!


  13. #12 Brenno lunes, 20 de marzo de 2006 a las 15:54

    grazias,hace tiempo que no estro por aqui pero esta muy bien. Lo de las librerias universitarias, en la mi no creo q lo tengan, pero es que mi campus no tiene historia es en otro. Aun asi les preguntare porque fijo puedo pedirlo.un saludo y gracias d nuevo


  14. Hay 12 comentarios.
    1


Si te registras como Druida (y te identificas), podrás añadir tu respuesta a este Archivo de Conocimientos

Volver arriba

No uses esta información en otros sitios web ni publicaciones, sin el permiso del autor y de Celtiberia.net